terça-feira, março 10, 2009

Madame Bovary e a cadela Djali


Elle appelait Djali, la prenait entre ses genoux, passait ses doigts sur sa longue tête fine et lui disait:
- Allons, baisez maîtresse, vous qui n'avez pas de chagrins!
Puis, considérant la mine mélancolique du svelte animal qui bâillait avec lenteur, elle s'attendrissait, et, le comparant à elle-même, lui parlait tout haut, comme à quelqu'un d'affligé que l'on console.

Madame Bovary, VII, Première Partie